La Cour juge qu’un journaliste qui a couvert les manifestations à l’Université de Khartoum en juin 2012 et a été interpellé peut craindre d’être pe...

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La Cour juge qu’un journaliste qui a couvert les manifestations à l’Université de Khartoum en juin 2012 et a été interpellé peut craindre d’être persécuté en cas de retour au Soudan par les autorités susceptibles de lui imputer des opinions politiques.

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La Cour juge qu’un journaliste qui a couvert les manifestations à l’Université de Khartoum en juin 2012 et a été interpellé peut craindre d’être persécuté en cas de retour au Soudan par les autorités susceptibles de lui imputer des opinions politiques.

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Jurisprudence

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La Cour, après avoir tenue pour établie l’activité de journaliste du requérant, juge qu’il est fondé à se prévaloir de la qualité de réfugié en cas de retour au Soudan en raison des opinions politiques qui sont susceptibles de lui être imputées par le pouvoir en place. Ses craintes sont justifiées par son interpellation en juin 2012 alors même qu’il couvrait les manifestations estudiantines à Khartoum (CNDA 27 juillet 2016 M. A. n° 16012935 C).

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28/07/2016

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